Tolkien au cinéma – Toutes les adaptations

Si l’œuvre de J.R.R. Tolkien (et plus particulièrement les écrits se rapportant à l’univers de la Terre du Milieu) a souvent été réputée inadaptable en raison de son incroyable densité et de sa grande richesse, elle a pourtant fait l’objet de multiples adaptations dans des domaines très divers. Cinéma, télévision, théâtre, radio, bande dessinée, jeux… Les deux romans les plus célèbres de l’auteur anglais, Le Hobbit et Le Seigneur des Anneaux, ont été maintes fois repris, modifiés, simplifiés (ou franchement ruinés !) dans des œuvres plus ou moins ambitieuses et surtout plus ou moins réussies.

Dans ce dossier nous vous proposons un tour d’horizon de ces adaptations, dont certaines vous seront sans doute familières et d’autres parfaitement inconnues. Sans plus attendre, plongeons-nous donc dans la première partie de ce dossier : Tolkien au cinéma et à la télévision.

Note : Pour une lecture plus aérée et une meilleure appréhension du déroulement des événements, ceux-ci sont présentés sous forme de chronologie. 

Petit rappel : Le Hobbit,  premier roman de Tolkien dont l’action se déroule en Terre du Milieu, est publié en 1937. Les trois tomes du Seigneur des Anneaux sont publiés entre 1954 et 1955.
.

I. Projets avortés et premières adaptations

1957 : Deux ans à peine après la parution du Seigneur des Anneaux, Tolkien reçoit une proposition d’adaptation de sa trilogie par Forrest J. Ackerman, auteur et éditeur de science-fiction. Le film serait un savant mélange de prises de vue réelles, de miniatures et d’animation, avec une durée totale de trois heures – durée très inhabituelle pour l’époque.

S’il se montre enthousiaste vis-à-vis du concept art qu’on lui soumet, Tolkien reste cependant réticent face au scénario : des coupes excessives dans le développement des personnages (avec notamment un Sam qui abandonne Frodo aux mains de Shelob et fait route vers la Montagne du Destin seul !), une représentation trop « conte de fées » de certains décors dont la Lothlórien, et une préférence pour « les scènes de combat et les démonstrations de magie inutiles ». Par ailleurs, Tolkien n’est pas satisfait des arrangements financiers, qui lui auraient rapporté très peu ; par conséquent, le projet est refusé.

1966 : Tolkien vend les droits d’adaptation et de merchandising du Hobbit et du Seigneur des Anneaux à la compagnie de production américaine United Artists. (À noter que, contrairement à ce que beaucoup semblent croire, les droits du Seigneur des Anneaux n’ont jamais été détenus par Walt Disney. Et pour cause : Tolkien détestait le travail de Disney et son approche des contes de fées.)

La même année sort la première adaptation jamais réalisée du Hobbit (enfin, « adaptation » est un bien grand mot) : un dessin animé de 12 minutes de Gene Deitch, mi-parodie, mi-grand n’importe quoi. Il y est question de Slag le Dragon, d’une certaine princesse Mika (l’unique rescapée d’Erebor avec Thorin, les autres Nains ayant mystérieusement disparu du scénario…), de « grablins » et de « Goloom ». L’aspect un brin « foutage de gueule » du film s’explique aisément par le fait que le producteur, William Snyder, l’a fait bâcler en moins d’un mois uniquement pour pouvoir prolonger sa license pour les droits du Seigneur des Anneaux, qu’il a ensuite renvendue pour 100 000 $…

1969 : Les Beatles (oui oui, les Beatles !) préparent une adaptation cinéma du Seigneur des Anneaux, avec Paul McCartney dans le rôle de Frodo Baggins, Ringo Starr dans celui de Sam, George Harrison en Gandalf et John Lennon en Gollum (pourquoi pas…). Le groupe approche le celèbre réalisateur Stanley Kubrick pour diriger le projet, mais après réflexion, celui-ci refuse, estimant que le roman est infilmable car trop dense. Peu après, le projet tombe à l’eau, Tolkien ne voyant pas d’un très bon œil la présence des Beatles dans le film.

Voilà à quoi auraient ressemblé nos héros façon Beatles…

Années 1970 : Le réalisateur John Boorman est contacté par United Artists pour adapter tout Le Seigneur des Anneaux en un seul film. Le scénario élaboré par Boorman comporte des changements aussi radicaux qu’improbables : des relations sexuelles entre Frodo et Galadriel (?!), Gimli se faisant torturer pour obtenir le mot de passe permettant d’entrer dans la Moria, Arwen transformée en un « guide spirituel adolescent » et laissant entièrement sa place à Éowyn dans le cœur d’Aragorn (avec, là encore, de forts sous-entendus sexuels)… Dans ces conditions, on peut probablement considérer comme une bonne nouvelle l’annulation du projet, jugé trop coûteux. Il semblerait que nous ayons échappé de justesse à une version X du Seigneur des Anneaux

1977 : La première adaptation de Tolkien sous forme de long-métrage est une version animée du Hobbit, créée pour la chaîne de télévision américaine NBC par le studio Rankin/Bass. Bien que relativement fidèle à l’œuvre de base, le film omet ou modifie plusieurs points-clés de l’intrigue (absence totale de Beorn, de l’Arkenstone ou de l’épisode des geôles de Thranduil et l’escapade dans les tonneaux, Spoiler (cliquez pour afficher)

. Par ailleurs, le film pâtit de certains partis pris esthétiques et visuels franchement douteux, à l’image des Elfes de Mirkwood qui apparaissent comme de petits gnomes rabougris à la peau verte et au fort accent allemand… Le film ne connaît pas un grand succès.

Gandalf, Bilbo et la compagnie de Thorin dans Le Hobbit version 1977.

1978 : Le producteur Saul Zaentz, qui a obtenu les droits d’adaptation du Seigneur des Anneaux deux ans plus tôt, produit un film d’animation pour le grand écran qui narre la première moitié de la trilogie de Tolkien. La réalisation est confiée à Ralph Bakshi, auquel on doit le fameux Fritz the Cat. Si les producteurs ont l’intention, dès le début, de fournir une suite à ce film, le public, lui, n’est pas mis au courant qu’il ne s’agit que d’une première partie : on dit à Bakshi que personne ne payera pour aller voir un film incomplet. Par conséquent, le public est au rendez-vous, mais se montre frustré de quitter la salle de cinéma sans avoir eu droit à la fin de l’histoire… Malgré le succès commercial de ce Seigneur des Anneaux animé, la deuxième partie ne verra jamais le jour.

1980 : Le studio Rankin/Bass se charge de compléter ce que Bakshi a commencé, et réalise, toujours en animation, The Return of the King, qui reprend là où le film de 1978 s’était arrêté.

1985 : Une nouvelle adaptation moins connue du Hobbit, qui est aussi la première à être tournée en prises de vues réelles, voit le jour en URSS. Réalisé pour la télévision, le film est un navet douloureusement cheap et involontairement hilarant, auquel nous avions d’ailleurs consacré un article (croyez-moi, le film vaut le détour).

Non, ceci n’est pas le frère caché de Jacques Villeret mais bien Bilbo Baggins made in URSS.

1993 : C’est au tour de la Finlande de s’attaquer, sans grand succès, au Hobbit et au Seigneur des Anneaux (oui, deux en un…), avec une mini-série de neuf épisodes de 30 minutes, intitulée Hobitit (« Les Hobbits » en français).

1994 : Après le fiasco du Hobbit soviétique de 1985, l’URSS se lance dans une nouvelle adaptation du roman de Tolkien, cette fois en version animée. Il en ressort un prologue de six minutes d’un film qui se serait appelé The Treasure under the Mountain ; mais le reste du film ne verra jamais le jour, étant donné que les Russes ne possédaient pas les droits d’adaptation ! (À savoir qu’en 1985, en URSS, il était permis d’adapter tout et n’importe quoi sans en avoir acquis les droits, d’où le fait que le téléfilm mentionné plus haut ait pu être diffusé.)
.

II. Les (més)aventures de Sir Peter Jackson

1995 : Peter Jackson, jusque-là auteur de quelques films gores de série Z, se renseigne pour la première fois sur une possible adaptation de l’œuvre de Tolkien. Il prévoit de tourner, pour le studio Miramax, trois films : le premier basé sur Le Hobbit et les deux suivants sur Le Seigneur des Anneaux.

1996 : Suite à des problèmes de droits entre Miramax et United Artists, Jackson décide de mettre son projet entre parenthèses et de se consacrer à une adaptation de King Kong pour Universal.

1997 : Universal annule le projet de remake de King Kong. La même année, Peter Jackson signe un accord avec Miramax pour réaliser deux films regroupant les événements de la trilogie du Seigneur des Anneaux.

1998 : Par peur de coûts trop importants, Miramax suggère à Jackson de condenser toute l’histoire en un seul film. Le réalisateur, jugeant la tâche impossible, approche alors un studio concurrent, New Line Cinema. Très bonne surprise : New Line accepte non seulement de financer les deux films, mais propose même à Peter Jackson ce qu’il n’osait plus espérer : faire du Seigneur des Anneaux une trilogie. N’ayant pas le droit de réutiliser les scripts conçus pour Miramax, Jackson reprend l’écriture de son projet depuis le début.

1999 : Le 11 octobre débute le tournage du Seigneur des Anneaux.

Peter Jackson sur le tournage des Deux Tours, avec Sean Bean.

2001-2003 : Sortie des trois volets du Seigneur des Anneaux avec l’immense succès qu’on leur connaît – 3 milliards de recettes et pas moins de 17 Oscars.

2006 : New Line approche Peter Jackson à propos d’une éventuelle adaptation du Hobbit ; Jackson refuse. La MGM annonce qu’elle aimerait monter le projet en collaboration avec New Line et Jackson, mais New Line annonce publiquement que ce dernier est écarté de l’adaptation du Hobbit. Peter Jackson et Fran Walsh écrivent alors une lettre ouverte publiée sur TheOneRing.net (elle est toujours disponible à la lecture ici) dans laquelle ils déclarent que le studio devra se trouver un autre réalisateur. « Notre plongée dans l’univers de Tolkien se termine ici », lit-on, au grand désespoir de nombreux fans…

2007 : MGM et New Line annoncent, à l’étonnement général, qu’ils considèrent la possibilité de produire deux films tirés du Hobbit avec Peter Jackson au poste de producteur exécutif. Quelques mois plus tard, Tolkien Estate poursuit New Line en justice et réclame 7,5% du profit total engendré par Le Seigneur des Anneaux, et bloque par la même occasion la production du Hobbit.

2008 : Warner Bros rachète New Line. Le cinéaste mexicain Guillermo Del Toro, qui était en contact avec Peter Jackson depuis des années, est engagé pour réaliser Le Hobbit, et la pré-production du film commence au mois d’août. (Guillermo Del Toro accepte le poste uniquement sous la condition que Peter Jackson soit également de la partie.)

2010 : Face aux déboires financiers de la MGM qui retardent sans cesse la production, Guillermo Del Toro préfère abandonner le projet. Peu après, on apprend que Peter Jackson est finalement en négociation avec le studio pour devenir le réalisateur des deux opus du Hobbit. Cette hypothèse est officiellement confirmée fin 2010, et Jackson annonce qu’il tournera les films en 3D. À la même époque, MGM et New Line donnent enfin le feu vert à la production du projet, dont le tournage devra débuter quelques mois plus tard.

Parallèlement, en Nouvelle-Zélande, un incendie détruit un entrepôt où sont stockés de nombreux décors et maquettes réalisées pour Le Hobbit. À cette catastrophe s’ajoutent des difficultés avec le gouvernement et des unions néo-zélandaises, et Peter Jackson menace de quitter le pays pour aller tourner le film en Europe de l’Est. Cependant, conscients de l’énorme impact économique du Hobbit sur l’industrie néo-zélandaise, le gouvernement finit par convaincre Jackson de rester, et un accord est signé entre les deux parties.

2011 : En janvier, alors que le tournage du Hobbit est sur le point de commencer, Peter Jackson est admis à l’hôpital avec un ulcère dans une condition médicale sérieuse, retardant ainsi le début de la production. Le tournage débute finalement le 21 mars en Nouvelle-Zélande, avec l’annonce que les films seront tournés en 48 images/seconde (contre les 24 traditionnelles), une nouvelle technique ayant pour but de donner davantage de fluidité et de netteté aux images.

Peter Jackson de retour à Cul-de-Sac, plus de dix ans après Le Seigneur des Anneaux

2012 : En juillet, à seulement quelques mois de la sortie du premier volet du Hobbit, Peter Jackson annonce que la saga ne comportera finalement pas deux mais trois films, et précise qu’il piochera abondamment dans les appendices du Retour du Roi pour étoffer son scénario. Un Voyage Inattendu sort le 12 décembre sur les écrans et remporte immédiatement un succès considérable.

2013 : La sortie du troisième et dernier volet du Hobbit est repoussée de l’été à l’hiver 2014, en raison de la sortie de X-Men : Days of Future Past en juillet de la même année, risquant de concurrencer le film. Le tournage additionnel du Hobbit débute en mai pour une durée de 10 semaines.

…Et c’est ainsi que, après des années de tractations, procès, retards et complications diverses, les fans de la trilogie de Peter Jackson ont enfin eu le plaisir de retourner en Terre du Milieu et de retrouver leurs personnages favoris dans une nouvelle saga qui s’annonce aussi épique que la première. La suite, nous la découvrirons ensemble !
.

III. Les fanfilms

En marge des adaptations officielles de Tolkien, il y a les fanfilms, créés « par des fans, pour des fans ». Difficile de parler adaptations cinématographiques sans mentionner le travail impressionnant accompli de façon bénévole et officieuse par certains de ces passionnés… Si les fanfilms sur l’univers de Tolkien ont pullulé sur Internet ces dernières années, la plupart restent de qualité médiocre et relèvent davantage du délire entre potes que du projet sérieux ; mais deux d’entre eux sont de véritables petits chefs-d’œuvre. Vous en connaissez très certainement les noms : The Hunt for Gollum et Born of Hope, réalisés respectivement par les jeunes Anglais Chris Bouchard et Kate Madison.

The Hunt for Gollum (2009)

Comme son nom l’indique, ce moyen-métrage de 40 minutes raconte un événement mentionné par Tolkien dans Le Seigneur des Anneaux mais omis par Peter Jackson dans sa version : la traque de Gollum par Aragorn, qui a lieu durant la période qui sépare le 111ème anniversaire de Bilbo du départ de Frodo pour la Montagne du Destin.

Produit avec un tout petit budget de 3000 £, le film est né du travail passionné d’une grande équipe d’acteurs, artistes et techniciens bénévoles, avec pour but de créer une œuvre visuellement (et qualitativement !) semblable à la trilogie de Peter Jackson. Tourné en Angleterre et au Pays de Galles entre 2007 et 2008, The Hunt for Gollum sort exclusivement sur Internet (visible en streaming gratuit) le 3 mai 2009 et remporte sans tarder un grand succès auprès des fans de Tolkien et de Peter Jackson. Depuis 2007, Chris Bouchard tenait un site et un blog pour attiser la curiosité de ceux-ci, postant régulièrement teasers, bandes-annonces et photos de tournage.

En plus de son succès public, le film devient vite connu des médias, non seulement en Angleterre mais aussi à l’international (en France, un reportage lui a été consacré sur France 3 et un article pleine page dans le magazine Studio…), en raison de sa grande qualité et de son aspect très professionnel. Acteurs convaincants, effets spéciaux impressionnants, ambiance visuelle et musique s’inscrivant volontairement dans la continuité du travail de Peter Jackson… The Hunt for Gollum prouve l’excellent niveau que peut avoir un fanfilm. (À noter qu’au vu de la notoriété et du « sérieux » du projet, Chris Bouchard a signé un accord avec Tolkien Enterprises, qui autorise et même encourage la diffusion du film à condition qu’aucun profit n’en soit tiré.)

Pour celles et ceux qui n’auraient pas encore vu cette petite perle, The Hunt for Gollum est disponible gratuitement en streaming ici.
.

Born of Hope (2009)

La même année que The Hunt for Gollum sort, avec le même mode de distribution (streaming gratuit), ce long-métrage de 1h10 réalisé par Kate Madison, qui y tient également l’un des rôles principaux. À l’image de The Hunt…, Born of Hope constitue un prequel à la trilogie du Seigneur des Anneaux : le film raconte l’histoire des Dúnedain, et plus particulièrement celle des parents d’Aragorn, Arathorn et Gilraen, dépeignant leur histoire d’amour mouvementée sur plusieurs générations alors que les Orcs de Sauron tentent d’éliminer les derniers héritiers de la lignée d’Elendil.

Plus long, plus ambitieux que son prédécesseur, avec de nombreux personnages, Born of Hope mélange des informations piochées dans les appendices du Retour du Roi et des trames narratives et personnages originaux, créés par Kate Madison pour étoffer l’intrigue, toujours dans le respect de l’œuvre de Tolkien. Le projet est né en 2003, lorsque Kate Madison désire participer à un concours de fanfilms sur Tolkien ; elle travaille sur le scénario et la pré-production du film pendant cinq ans, pour un tournage entre 2008 et 2009. Bien que quasi-nul par rapport à la trilogie de Jackson, le budget de Born of Hope est considérable pour un fanfilm semi-amateur : 25 000 £, somme des économies de la réalisatrice (8000 £) et des nombreuses donations de fans via Internet suite à la diffusion d’un premier trailer (les 17 000 £ restants).

Les fils d’Elrond, Elladan et Elrohir, dans Born of Hope.

Comme The Hunt…, Born of Hope bénéficie d’une très bonne réception publique et critique, et gagne même le « Best micro-budget feature Award » (Award du meilleur long-métrage à micro-budget) au London Independent Film Festival de 2010. Visuellement et musicalement, le film s’inscrit lui aussi dans la parfaite continuité de la trilogie de Peter Jackson. (L’équipe de Born of Hope a d’ailleurs reçu les félicitations de Richard Taylor, le grand manitou de Weta Workshop himself. Pas mal !)

Pour voir ou revoir cet excellent fanfilm, rendez-vous sur Youtube ici. (Et vous pourrez même bénéficier d’un sous-titrage français réalisé par Bibi – oui, j’ai eu l’occsasion d’apporter ma petite pierre à l’édifice Born of Hope !)

Et vous, que pensez-vous des différentes versions que nous ont livré les cinéastes ayant osé se frotter à l’œuvre monumentale de J.R.R. Tolkien ? Quelle est votre adaptation cinématographique préférée de l’univers de la Terre du Milieu ? Quelle(s) autre(s) histoire(s) de Tolkien aimeriez-vous voir adaptée(s) au cinéma ?

EDIT  (3 juin) : Article mis à jour avec l’ajout de deux adaptations que nous avions oublié de mentionner. Merci à nos lecteurs Stella et DroZo pour le rappel !

17 pensées sur “Tolkien au cinéma – Toutes les adaptations

    • 3 juin 2013 à 10 h 59 min
      Permalink

      Merci ! 🙂
      En effet, je connais ces deux fanfilms, et il en existe encore d’autres sur le sujet. Certains se sont même frottés au Silmarillion. J’ai hésité à en mentionner davantage dans mon article, mais comme The Hunt for Gollum et Born of Hope ont clairement un statut à part et un degré de professionnalisme bien supérieur aux autres, je me suis restreinte à ces deux-là… Ceci dit c’est toujours sympa de voir ce que les fans créent à partir de l’univers de Tolkien !

      Répondre
  • 1 juin 2013 à 13 h 57 min
    Permalink

    Merci pour cette article très instructif, ca m’a donné envie de voir les fans films que je connaissais uniquement de nom.

    Répondre
    • 3 juin 2013 à 11 h 03 min
      Permalink

      Merci pour cet ajout ! Je ne manquerai pas de le mentionner dans l’article.

      Répondre
  • 1 juin 2013 à 14 h 09 min
    Permalink

    C’est juste moi, ou Peter Jackson s’est vraiment inspiré de la scène sur Smeagol dans la version finlandaise pour la trilogie?! (à partir de 5:55)

    Répondre
    • 1 juin 2013 à 14 h 45 min
      Permalink

      Ouais, j’avais remarqué aussi lorsque je l’avais vu. Pareil, dans PJ comme de Hobitits, on a des plans sur la transformation de Sméagol en Gollum (même si ils ne l’ont pas filmés pareil, l’idée reste la même)

      Répondre
    • 1 juin 2013 à 18 h 36 min
      Permalink

      En effet, bien que ce soit décrit assez précisément dans le livre, cela me paraît un peu gros pour être une coïncidence.

      Répondre
  • 1 juin 2013 à 14 h 25 min
    Permalink

    superbe article, merci

    Répondre
  • 1 juin 2013 à 16 h 02 min
    Permalink

    Article super complet, les deux films amateurs sont tout juste parfait !!
    Merci à vous =)

    Répondre
  • 2 juin 2013 à 0 h 07 min
    Permalink

    2006 « Notre plongée dans l’univers de Tolkien se termine ici »

    Quel dommage que P.J ne s’en soit pas tenu a cette déclaration…

    Répondre
    • 3 juin 2013 à 10 h 55 min
      Permalink

      Je sens comme une amertume là… Tu n’as pas aimé The Hobbit ?

      Répondre
    • 3 juin 2013 à 11 h 07 min
      Permalink

      Oh, mais tu as raison ! Un malheureux oubli, puisque je connaissais cette version… Merci de me le rappeler, je vais la rajouter dans l’article ! Elle est très, euh… étrange, cette adaptation. 😀

      Répondre
  • 28 mars 2014 à 21 h 16 min
    Permalink

    Merci pour les liens streaming des fanfilms 🙂 Je court regarder ça !

    Répondre
  • Ping :Cette semaine en Terre du Milieu (24/03/14 – 30/03/14) |

  • Ping :Brèves de la Terre du Milieu N°5 |

Répondre à DroZo Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

css.php