Misty Moutains : orchestral cover

Après vous avoir présenté, il y a quelques mois de cela un ensemble de reprises de l’emblématique thème musical du Hobbit : un voyage inattendu, j’ai nommé le divin Misty Moutains, voici une cover particulièrement bien réussie, exécutée par un orchestre.

Nous faisons face à une véritable caresse auditive, un enchantement de l’âme, deux minutes et vingt-quatre secondes quasi orgasmiques (j’exagère à peine :P), les superlatifs me manquent.

Trêve de bavardage, je vous laisse apprécier ce sublime morceau :

Cette petite troupe est dirigée par un dénommé Albert Chang, ils ont d’ailleurs réalisé ensemble de nombreuses  covers et autres medleys.

Retrouvez tout ce beau monde sur leur chaîne YouTube et leur page Facebook.

15 pensées sur “Misty Moutains : orchestral cover

  • 5 avril 2013 à 19 h 50 min
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    un pure délice je dois bien l’avouer !

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  • 5 avril 2013 à 19 h 51 min
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    Merci de nous faire découvrir cette vidéo : supers musiciens pour une super musique ! A faire découvrir aux (rares) personnes qui ne la connaissent pas encore pour leur prouver qu’une musique de film (et le SDA n’était pas en reste) peut devenir un classique !

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  • 5 avril 2013 à 19 h 56 min
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    Superbe !!

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  • 6 avril 2013 à 7 h 23 min
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    Toujours sensible aux cordes frottées!

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  • 6 avril 2013 à 15 h 58 min
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    Pour ma part, je trouve que cette réinterprétation est « trop » simple, il y a malheureusement peut de richesse dans l’accompagnement.
    Le début fait trop américain dans le style de jeu du violoniste soliste, avec peut de phraser et beaucoup de liaison.
    Les pizzicatos qui apparaissent avec légèreté et douceur sont très appréciable ( à 0: )mais il me manque en revanche les altos pour les accompagner et accompagner le violoncelliste (à 0:39) ce qui enlève le charme de la mélodie.
    Mais surtout(à 1:17 jusqu’à 1:20)qui fait le pont entre la partie d’avant et la partie d’après est, excusez-moi, mais archie nul.

    Ce qui va bien part le suite c’est l’idée de mélange la mélodie principale « Misty Mountains » avec le style de Neil Finn, mais pourquoi avec peut de recherche dans l’écriture orchestral alors que l’idée était bien?
    en plus avec beaucoup très de son et d’accentuation en oubliant la couleur et la beauté du violon. On a l’impression d’entendre le son d’un violon crée par l’ordinateur.

    Et à la fin, on revoit le violoniste soliste du début comme si c’était une pub pour montrez que ce soliste joue bien du violon et qu’il doit alors rentrer dans la plus grand école de solsite en Amérique à la « Juilliard School ».

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    • 7 avril 2013 à 18 h 37 min
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      Waah ! Sans ironie, aucune, je vois que nous avons affaire à un spécialiste ! Toutes considérations techniques mises à part, pour des oreilles profanes comme les miennes cette musique (sans entrer dans les détails) est vraiment très bonne.
      Au delà de la technique pure et dure ce sont les émotions que dégage un morceau qui sont importantes et là le pari est réussi, mais ceci n’engage que moi. 😉

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